On parle de plus en plus de la pollution numérique et de la place que le mail occupe dans cet écosystème. Quand on estime que près de 1,4 milliard d'emails sont envoyés tous les jours en France, on se doute bien que celui-ci doit avoir un certain impact...
Mais quel est l'impact écologique réel du mail, et surtout, pourquoi est-ce qu'envoyer un email, ça pollue ?
Il s'agit de l'ensemble des polluants générés par l'informatique. La pollution numérique inclut la consommation d'énergie et les émissions de gaz à effet de serre associées à la fabrication, à l'utilisation et à l'élimination des équipements numériques (ordinateurs, smartphones, téléviseurs intelligents, etc.). À cela s'ajoute aussi les infrastructures nécessaires au fonctionnement des appareils informatiques, comme les data centers et les réseaux de communication, et l'utilisation elle-même des appareils numériques.
Bien que l'utilisation de matériel numérique crée de la pollution, l'impact écologique le plus important se produit lors de la fabrication du matériel en lui-même. Pensons à l'extraction des minerais, à l'utilisation massive d'eau et aux longues chaînes d'assemblage. Tout cela requiert beaaauucccoup d'énergie. Et comme nombre de centrales qui fournissent de l'énergie sont au charbon ou au gaz, de grandes quantités de gaz à effet de serre sont relâchées au passage.
Alors, la réponse courte : oui, il l'est.
Mais la réponse longue serait que : la situation est un peu plus complexe (eh oui, comme quoi rien n'est jamais simple). En réalité, l'envoi d'un mail, comme toute action effectuée via un serveur connecté à internet, a une empreinte carbone. Or, encore faut-il savoir à quelle échelle il est polluant, ce qu'il représente dans l'ensemble de la pollution numérique et si des solutions existent pour atténuer son impact.
En moyenne, l'Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (ADEME) estime que chaque email émet en moyenne 4 gCO2e. En soi, cela peut sembler insignifiant, mais multiplié par des milliards d'envois quotidiens, l'impact devient beaucoup moins négligeable.
Selon Basile Fighiera (consultant-formateur en stratégie bas-carbone et sobriété numérique), l'empreinte carbone d'un email simple, sans pièce jointe, envoyé à un seul destinataire serait de 0,4 gCO2e.
Sur ces 0,4gCO2e, nous pouvons calculer l'empreinte carbone du mail comme suit :
En observant ces choses, on constate donc que :
Alors, si vous cherchez à réduire votre pollution numérique, une bonne chose à faire pour commencer est de maximiser la durée de vie de votre ordinateur et/ou de votre smartphone.
Pensez à les recycler, à éviter de les changer dès qu'un nouveau modèle sort, et n'oubliez pas que le marché des objets usagés existe.
L’impact écologique d’un mail peut varier en fonction d'une foule de facteurs.
Par exemple :
Bref, vous l'avez compris, une foule de facteurs peuvent venir influencer l'impact carbone d'un email envoyé.
Sans prendre en compte toutes les variables possibles, Basile Fighiera a tenté de représenter l'empreinte carbone d'un mail via différentes mises en situation. Voici ses résultats :
Il faut aussi savoir qu'en fonction du type mail envoyé (et reçu), le bilan carbone ne sera pas exactement le même. Voici donc la quantité de gaz carbonique moyenne relâchée en fonction du type d'email (selon Carbon Literacy Project) :
Difficile d'établir le bilan carbone exact de la signature mail, car celui-ci peut varier en fonction de nombreux facteurs. Par exemple, une signature contenant une image surdimensionnée et une quantité importante d'informations sera bien sûr plus polluante qu'une signature épurée et optimisée visuellement.
Mais pour vous aider à avoir une idée générale, nous avons tout de même fait quelques calculs à l'interne et voici notre estimation :
L'entreprise Tootbus, spécialisée dans le transport de touristes dans plusieurs villes d'Europe (Paris, Londres, Bruxelles, Bath), s'est par exemple engagée à diminuer ses émissions de gaz à effet de serre de 50 % d'ici 2030.
Cela passe par différentes actions concrètes, comme l'électrification de leur flotte d'autobus, l'utilisation de biocarburants et un stockage de données minimisé sur leurs serveurs.
Par rapport aux données informatiques, l'entreprise s'est aussi engagée à minimiser son impact. Elle a notamment pris la décision de supprimer de ses serveurs les données de ses clients après un temps défini et encourage activement ces mêmes clients à désinstaller l'application Tootbus de leur smartphone une fois leur voyage terminé. Pour ce qui est des signatures mail de ses collaborateurs, Tootbus a opté pour un outil de signature mail (Letsignit dans ce cas) afin d'uniformiser les signatures et de réduire au maximum les données nécessaires à leur affichage.
Alors, nous l'avons déjà mentionné un peu plus haut, mais le processus le plus polluant est la fabrication des appareils (ordinateurs, smartphones, tablettes) en eux-mêmes. Si vous souhaitez lutter contre la pollution numérique, le premier réflexe serait donc de repenser votre consommation d'outils informatiques.
Ensuite vient la pollution causée par l'utilisation des outils informatiques. Les appareils consomment de l'énergie tout au long de leur cycle de vie, que ce soit lors de leur utilisation quotidienne, de leur maintenance ou de leur recyclage. Cette consommation d'énergie dépend en grande partie de la source d'énergie utilisée, qui est souvent non renouvelable, contribuant ainsi aux émissions de gaz à effet de serre. De plus, les mises à jour logicielles régulières et la nécessité de rester connecté en permanence ajoutent à cette empreinte énergétique. Il est donc essentiel de favoriser l'utilisation d'énergies renouvelables et d'adopter des pratiques de sobriété numérique pour minimiser cet impact.
La fabrication des appareils numériques : il suffit de penser à tous les ordinateurs, smartphones, tablettes et autres objets connectés que les gens autour de vous possèdent. À titre d'exemple : fabriquer un ordinateur nécessite en moyenne 500 kg de matière (240 kg de combustibles fossiles, 1,5 tonne d'eau, 22 kg de produits chimiques variés, des métaux rares nécessaires à sa fabrication, etc.) et produit 246 kg de CO2 ;
La création de data centers toujours plus gros et consommateurs d'énergie : aujourd'hui, la consommation de tous ces centres combinés correspond à 3% de l'énergie mondiale. Avec la présence du cloud, qui est de plus en plus grande, cette consommation énergétique ne cesse d'augmenter ;
L'utilisation d'internet ! Le visionnage de vidéos est la première cause d'utilisation de bande passante. On estime que le streaming vidéo représente au plus bas 60% (source : greenpeace.fr) des données consommées sur le web. Les autres outils et activités en ligne suivent ensuite.
Dans l'univers « l'utilisation d'internet qui engendre de la pollution », la vidéo est malheureusement la grande perdante. Elle représente 60% des données qui transitent sur le web. Ce sont pas moins de 700 000 heures de vidéos qui sont visionnées toutes les minutes à travers le monde ! Et vous qui trouviez votre marathon cinématographique annuel du Seigneur des Anneaux plutôt long...
Compte tenu de la quantité de données utilisée lorsqu'une vidéo est regardée, ce canal a la tare d'être beaucoup plus polluant que tous les autres. Pour une personne, 1h seulement de streaming correspond à 400 g de CO2 !
Le mail représente 0,0004% de la pollution mondiale ;
92% de ce 0,0004% sont causés par la fabrication des appareils informatiques (ordinateurs, tablettes, smartphones) eux-mêmes ;
L'empreinte carbone moyenne d'un mail correspond à 4 gCO2e (chiffre incluant la pollution engendrée par la fabrication des appareils numériques utilisés);
La signature mail génère en moyenne 0,24 gCO2 par envoi de mail ;
60 % de la pollution numérique liée à l'utilisation d'internet provient des de l'utilisation de la vidéo (notamment sur YouTube et sur d'autres services de streaming vidéo).
La bonne nouvelle, c'est que vous pouvez mettre en place des actions concrètes pour réduire votre consommation et donc, votre impact environnemental. L'idée maîtresse ? La sobriété numérique !
Commencez par éviter de vous suréquiper (avez-vous vraiment besoin de ce 2e téléphone pour parler à votre amant secret ?). En fin de compte, moins il y a de demandes pour de nouveaux appareils, moins il y en aura de fabriqués. Et un appareil qui n'est pas fabriqué est un appareil qui ne pollue pas ;
Assurez-vous également de réparer vos équipements lorsque c'est possible. Les réparateurs d'ordinateurs et de téléphones peuvent vous aider à prolonger considérablement la durée de vie de vos appareils ;
Arrêtez de regarder la télévision sur internet, en vous reconnectant notamment sur la TNT (télévision numérique terrestre) et son bon vieux câble coaxial ;
Mettez votre ordinateur en mode économie d’énergie. Cela réduira légèrement ses performances, mais aura pour effet de diminuer ses besoins en énergie ;
Limitez votre usage du cloud et stockez vos données sur le disque dur de votre ordinateur ou un disque dur externe. Pensez aussi à faire un petit nettoyage de vos photos et de vos mails. Supprimez les doublons ou les éléments inutiles. Peut-être n'est-il pas RÉELLEMENT nécessaire de conserver vos 60 variations de photos en compagnie de la Petite Sirène à Disney Land Paris ;
Réduisez votre consommation de réseaux sociaux et la quantité de contenus que vous partagez. Pensez aussi à vous connecter directement sur les sites web qui vous intéressent au lieu de passer par un moteur de recherche. Cela évitera des requêtes inutiles aux serveurs, et donc, diminuera le traitement de données ;
Refusez les objets connectés. Ceux-ci consomment des données en continu et —avouons-le— ne sont pas toujours essentiels à votre quotidien. Veillez, donc à en posséder le moins possible ;
Utilisez le Wi-Fi au lieu de la 4G ou 5G (à titre de comparaison : la 4G consomme 20x plus d'énergie que le Wi-Fi classique) ;
Utilisez les services de data centers optimisés et qui fonctionnent à partir d'énergie renouvelable ;
Coupez l'alimentation de vos équipements avant d'aller au lit. Pendant la nuit, vous dormez. Alors, pourquoi ne pas faire dormir vos appareils connectés à internet (box d'accès à internet, routeur, etc.) ? Au lieu de consommer des données en continu en arrière-plan, un petit sommeil leur permettra de dépenser moins de données.
Si vous souhaitez mener la démarche encore plus loin, et réduire la pollution engendrée par l'envoi de mails, plusieurs solutions s'offrent à vous :
Commencez par vider votre boîte mail. Vos vieux mails ou les mails archivés peuvent probablement être supprimés. Effacez aussi les mails de la section « éléments envoyés ». En nettoyant ainsi votre boîte mail, vous limitez l'utilisation de données inutiles ;
Supprimez les spams qui occupent beaucoup d'espace inutile. Au besoin, installez un logiciel (ou une extension) antispam. Un outil tel que Cleanfox s'avére très utile pour vous accompagner dans ce ménage de printemps ;
Désinscrivez-vous des newsletters que vous ne lisez pas réellement. Si, à chaque fois que vous recevez une newsletter, vous vous dites « je la lirai plus tard, ou demain », c'est probablement parce qu'elle ne vous intéresse pas vraiment. Dans ce cas, inutile d'augmenter votre bilan carbone pour des mails que vous ne lirez jamais et supprimez ces abonnements inutiles ;
Limitez l'envoi de pièces jointes directement intégrées à vos mails. Privilégiez plutôt les liens WeTransfer ou File Vert, ou —lorsque c'est possible— un transfert de proximité (via une clé USB, un disque dur ou un transfert par Bluetooth). Pensez aussi à supprimer les fichiers en pièce jointe lors d'éventuelles réponses ;
Ciblez bien vos destinataires. Faites en sorte de mettre un minimum de personnes en CC et évitez d'utiliser la fonction 'répondre à tous' (reply all), sauf dans les cas où cela est vraiment nécessaire. Cela semble banal, mais réduire de simplement 10% l'envoi de mails qui incluent un responsable et des collègues permettrait d'économiser 1 tonne de CO₂ par an pour une entreprise de 100 collaborateurs ;
Réfléchissez bien avant d'envoyer un mail, pour éviter tout message inutile. Un message avec un simple « merci » n'est probablement pas vraiment impératif ;
Quand il est question d'envoyer un court message, privilégiez plutôt le SMS, qui est 200 fois moins émetteur de gaz à effet de serre que le mail.
Alors, sans réduire à 0 l'impact environnemental de sa signature mail, la bonne nouvelle est qu'il est possible de le diminuer de façon assez conséquente. Pour ce faire, il suffit de mettre en place quelques bonnes habitudes et de les appliquer régulièrement. Et pourquoi ne pas encourager votre entourage à faire de même ?
Alors, pour réduire l'impact carbone de votre signature mail et celles de vos collaborateurs :
Commencez par réduire le poids des images incluses de vos signatures mail : les images sont souvent mal optimisées et consommatrices de données inutiles.
Veillez donc à :
1- les redimensionner en fonction de leur taille d'affichage réelle. Inutile de mettre une photo de profil en format 1200 x 1200 si la taille d'affichage est de 150 pixels x 150 pixels (on sait bien que vous voulez que tous puissent apprécier votre joli minois, mais quand même). Pour plus d'information, référez-vous à notre article sur le bon format des signatures mail.
2 - réduire leur poids. Des outils de compression (ex. squoosh.app) permettent de diminuer l'espace occupé par vos images. Une image ayant un plus petit poids consommera moins de données lors de son envoi et de sa réception ;
Optimisez le code HTML de votre signature : tout élément codé en HTML peut contenir des informations inutiles (comme l'utilisation d'espaces, de retours à la ligne ou de codes hexadécimaux inutilement trop complexes). La minification permet de simplifier le code HTML, de façon à ce qu'il soit optimisé au maximum et que son poids soit le plus petit possible. En fin de compte, celui-ci occupera moins d'espace serveur et sera moins énergivore lors d'un envoi de mail. Des outils comme HTML Minfier (Minify HTML Online ) permettent de minifier votre code de façon simple.
Diminuez la quantité d'informations affichées : si certaines informations ou des éléments visuels n'ajoutent pas de réelle valeur à votre signature, demandez-vous si vous pouvez les supprimer. Limitez l'affichage de bannières à des messages pertinents. La photo de votre petit chat Grisou (3e du nom) n'est peut-être pas si essentielle à la bonne réception de vos mails. On se doute que vous l'aimiez beaucoup beaucoup, mais là n'est pas la question...
Programmez vos réponses, vos reply all et vos transferts de mail avec une signature plus légère : nul besoin de charger intégralement votre signature pour chacune de vos réponses. Une fois votre signature complète envoyée à votre interlocuteur, vous pouvez faire en sorte d'afficher une signature plus minimaliste pour les échanges qui suivent ;
Pour les entreprises : utilisez une solution de gestion de signatures mail. En uniformisant et compressant les mails de vos employés, vous ferez en sorte que l'impact carbone des signatures mail soit plus petit. Non, plus question pour Martine de la compta d'envoyer sous chacun de ses mails la photo de son chien Pixou en format 4k !
Pour participer à cet effort de réduction de la pollution numérique, le gouvernement européen a mis en place certaines initiatives visant à réduire la pollution numérique. On peut par exemple penser :
De leur côté, des pays nordiques comme la Suède et la Norvège ont choisi d'alimenter leurs infrastructures informatiques à l'aide d'énergies renouvelables. Au Japon, ont été mis en place des programmes nationaux pour la collecte et le recyclage des appareils électroniques.
La pollution des mails et de la signature mail ne représente pas l'essentiel de la pollution numérique à l'échelle mondiale.
Or, bien que chaque email rédigé ait un impact relativement faible, le cumul de tous les mails envoyés et reçus peut devenir significatif à l'échelle de la planète, surtout en considérant l'activité des grandes entreprises. Ainsi, en adoptant des pratiques numériques plus responsables et en optimisant nos outils de communication, nous pouvons tous contribuer à un avenir plus durable.
Rappelez-vous que chaque geste, même minime, participe à la réduction de la pollution numérique. La réduction de la pollution numérique et le combat contre le réchauffement climatique sont une responsabilité collective qui implique des actions à tous les niveaux – des individus aux grandes entreprises, en passant par les gouvernements. C'est ensemble que nous pourrons transformer nos habitudes numériques et minimiser notre impact environnemental. Il n'y a plus de raison de ne pas faire d'actions concrètes pour diminuer les chiffres de la pollution engendrée par les mails et plus largement, par le secteur du numérique.
Yes, with the 'Campaigns' offer, it is possible to track the number of clicks on the email signatures of all your employees in the 'Statistics' area of the platform.
You can then access a detailed or global view of the number of clicks on the email signatures of each employee. You can use the search option to target a specific signature or a given period. Finally, you have the possibility to export all statistics to an Excel document.
If you launch campaigns with banners inserted in your email signatures, you can also access their performance via this same space.
With Letsignit, you can easily add social network icons in your collaborators' email signatures and link to your company pages. Also, our "attributes" feature allows you to manage personalized URLs for each of your collaborators such as their individual LinkedIn profile.
And that's not all: you can add links to an appointment-setting application, allow your customers to leave reviews easily, and integrate our 'Chat on Teams' widget to let anyone start a discussion via Microsoft Teams chat.
It’s up to you! As an administrator of the Letsignit platform, you choose whether or not to grant modification rights to your employees. These permissions are managed on an attribute-by-attribute basis, which means that you can decide to allow the employee to change their phone number, but not the address of your premises, for example.
This feature applies to all attributes in your directory, including custom attributes created on Letsignit. When your employees change one or more attributes, your directory is obviously not affected.
It often happens that employees make their email signature their own: custom format, bad fonts, colors inconsistent with the brand standards... all of this has an impact on your brand!
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What is the user experience like for our employees?
In both cases:
In short, they have autonomy in their email signature, but you keep control on the field, signatures, and banners they can edit or use.
With our "multi-signature" feature, your employees can benefit from multiple email signatures. No technical manipulation is required. Thanks to our Add-in for Outlook or the desktop app, they can change their email signatures as they wish with just a few clicks.
Regarding the creation of email signatures, you can make several variations such as:
Everything has been thought of to go further in the personalization process based on the recipient of your emails.
If sending emails has an impact, non-optimized email signatures also have an impact. An unsuitable format or an image that is too heavy considerably increases the size of your signatures... and therefore, your emails.
As a responsible economic actor, we contribute to reducing our CO2 emissions and those of our customers in several ways:
As we are increasingly involved in sustainability initiatives, our priority in 2023 is to develop even more green IT functionality.
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